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Deuxieme version du sonnet
11/12/2006 19:30
Au coeur de la cîté, tu m'as vue, j'ai failli, Dire que j'ai failli, ne jamais te connaitre. Dire que peut être, "nous", n'aurait jamais pu être! Contre mes prévenances, à ta vue je subis L'azur de ton regard, une faille infinie... Je te sens devenir l'essence de mes pensées. Une haute muraille, patiente, j'ai érigée A cause de ce bien être qui parfois en surgit. Tour à tour, supportée, ignorée, retrouvée ; Cette valse hésitante m'a bien appris, aimé! A présent, mon royaume, impossibles nuances Ne t'est plus étranger;ainsi tu as bien su Lire le vrai du faux de cette âme qui pense. Quelle étrange détresse! J'ai cru t'avoir perdu!
¤ FaYeS ¤ [Novembre 2006]
Commentaire de pAuLiNe (12/12/2006 19:37) :
Rien à dire... c'est très beau ;) (k)(k)
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